C’est une histoire qui commence par la fin. A moins qu’elle n’en soit soit le début d’une autre. Ou l’inverse, une fois de plus. Encore. 46 pages donc, qui peuvent se lire à l’infini sans jamais que la lassitude ne se fasse sentir. C’est l’apanage des grands récits que de savourer une fois supplémentaire, quand bien … Continuer de lire Batman: Killing Joke – C’est l’histoire de deux mecs dans un asile de fous